Journée du 21.02.1998

A Sochaux, Stade Auguste Bonal, Sochaux bat SCT83 4 à 1 (mi-temps 3-1 ).

Beau temps, bon terrain.
3 500 spectateurs.
Arbitre : M. Hamer.

Buts : Gomez (6'), Klausz (18' et 27'), Dallet (87') pour Sochaux et Rabat (5') pour Toulon.

Avertissement : Carvalho (24') pour Toulon.

Sochaux : Petereyns, Manac'h, Maraval (Viseux, 89ème), Boniface, Santini, Gomez, Chaintreuil, Baudry (cap.), Dallet, Klausz (Chedli, 46ème), B. Bouger (Isabey, 83ème). Entraîneur : Farouk Hadzibegic.

Toulon : Dervin, Vandenberghe (cap.), Zemzemi, Rebecq, Carvalho, Tatarian, Danieri, Maresu, Mazzuchetti, D. Rabat, Revelles. Entraîneur : Christian Dalger.

    Sochaux, peut-être traumatisé de son élimination contre Lens en Coupe de France, les doubistes encaissent en tout cas un but en tout début de match. Sur une échappée de Revelles, celui-ci transmet en retrait sur Tartarian qui centre immédiatement. Rabat, au deuxième poteau, reprend de la tête et loge le ballon hors de portée du gardien au ras de son poteau droit (0-1).
    Mais l'équipe d'Hadzibegic égalise par Gomez une minute après par une frappe sous la barre (1-1). On retrouve Gomez sur un corner pour la tête du hongrois Klausz, seul au centre, et Sochaux prend l'avantage (2-1). Klausz, joker chez les doubistes cette année, marque le troisième but, la demi-heure de jeu n'étant pas encore atteinte, l'attaquant se retrouvant une nouvelle fois devant Zingaro, suite à des passes courtes et précises et un bon mouvement de ses coéquipiers (3-1).
    Sochaux achève son succès par un quatrième et dernier but : une longue ouverture de ses 20 mètres de Stéphane Santini en direction de Sébastien Dallet, qui n'a plus qu'à tromper le gardien toulonnais, malgré le retour désespéré de 2 défenseurs (4-1).

    Réactions d'après match :
Farouk Hadzibegic : "Je pense que notre victoire est logique, mais j'avoue avoir eu peur jusqu'au but libérateur de Dallet."
Christian Dalger : "Nous avons eu pas mal d'occasions dans ce match, certainement autant que Sochaux, mais nous avons trop fait de cadeaux. Nous payons très cher notre manque de rigueur."